Hôpital Fernand Widal (Assistance Publique-Hôpitau, hopital à Paris 10

Heureusement, ils vont bientôt fermerJe suis entrée pour un sevrage cannabique, on m'a soignée pour alcoolisme : les internes ne font visiblement pas la différence. Ne connaissant pas les génériques, on m'a gavée de Diazépam sous forme de Valium (TM), auquel j'ai développé une forte intolérance : bilan, j'ai perdu l'appétit et le sommeil, et suis ressortie dans un bien pire état que celui dans lequel j'étais arrivée.
Les locaux sont immondes, on trouve des tessons de verre et des flasques d'alcool partout, les couloirs sont bourrés d'amiante, les peintures s'effritent... Seule la bouffe est correcte.
Le plus pénible : l'hypocrisie du personnel médical. Une unité psychiatrique dans laquelle on vous dit : "de toute façon personne ne peut vous supporter", après avoir fait semblant de vous écouter et avoir prétendu vous apprécier pendant une semaine, cela vous détruit bien plus que n'importe quelle drogue. A EVITER ABSOLUMENT